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Les « Hommes de Santorin » : cadavres en série
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Les « Hommes de Santorin » : cadavres en série
LES « HOMMES DE SANTORIN »
Cadavres en série
Les Faits :Cadavres en série
Le mystère débute avec la découverte, le 19 juillet 1936, d'un cadavre rejeté sur la plage de Mesa Pigadia, sur l'île grecque de Santorin (voir l'Homme de Santorin). Mais il s’épaissit encore quand d'autres cadavres sont découverts, au fil des ans et un peu partout dans le monde, dans les mêmes conditions étranges : rejetés par la mer, peu décomposés et sans blessure évidente, complètement habillés et chaussés, jamais identifiés grâce au visage ou aux empreintes (digitales et dentaires), aucune explication officielle de la part des gouvernements concernés... Surtout, tous semblent avoir été retrouvés avec des pages de livres de Straka dans leurs poches.
Les ressemblances avec le premier cas étant évidentes, il devient logique de baptiser collectivement tous ces inconnus : « Hommes de Santorin ».
En 1952, la Santorini Man Society a établi une liste de tous les « Hommes de Santorin » suspectés.
PREMIER CAS : L'Homme de Santorin
- N° - Date - Lieux (Œuvre de Straka, édition et pages retrouvées) : note éventuelle
- 1. 19 juil. 1936 — Île de Santorin, Grèce (Les Dix-Neuf de la Main noire, édition britannique, p. 9-10 ou p.109-110)
PREMIÈRE VAGUE
- 2. Mars 1937 – Shizuoka, Japon (La Cordillera, édition française, p. 179-180)
- 3. Déc. 1937 – Namibe, Angola (L'Émeute, édition et pages non précisées)
- 4. Avril 1939 – Antofagasta, Chili (Le Triptyque des miroirs, édition allemande, p. 9-10)
- 5. Sept. 1941 – Florence, Oregon, USA (Lopevi, édition britannique, p. 231-232)
- 6. Août 1942 – Île de Tumbatu, Zanzibar (Washington & Greene, édition et pages non précisées)
- 7. Sept. 1942 – Egersund, Norvège (Pendaison, édition suédoise, p. 9-10)
- 8. Avril 1944 – Burnie, Tasmanie (Peintures rupestres, édition tchèque, pages non précisées)
- 9. Mai 1946 – Îles de Todos Santos, Mexique (La Mine de Wineblood, édition portugaise, p. 379-380)
- 10. Mai 1946 – Îles Abaco, Bahamas (Miracle à Braxenholm, édition hollandaise, p. 153-154)
- 11. Oct. 1948 – Udupi, Inde (L'Humour de la vipère, édition espagnole, p. 9-10)
- 12. Juil. 1949 – Rio Grande, Brésil (La Marche de Santana, édition allemande, p. 89-90)
- 13. Oct. 1951 – Île de Juist, Allemagne (Les Palissades de la nuit, édition américaine, p. 9-10)
La Santorini Man Society et d'autres ont tenté de trouver une relation entre tous ces éléments, en vain.
Quelque 12 années après cette première vague, une seconde débute. Tous les détails sont les mêmes, à deux exception près : l'un des cadavres est celui d'une femme, l'autre a été découvert emprisonné dans la glace.
DEUXIÈME VAGUE
- 14. Avril 1963 – Antofagasta, Chilie (Le Triptyque des miroirs, édition allemande, p. 9-10)
- 15. Nov. 1963 – Salalah, Oman (Les Dix-Neuf de la Main noire, édition norvégienne, p. 217-218 ) : la seule « Femme de Santorin ».
- 16. Déc. 1967 – Ningde, Chine (Coriolis, édition portugaise, p. 693-692)
- 17. Avril 1971 – Quepos, Costa Rica (Miracle à Braxenholm, édition espagnole, p. 155-156)
- 18. Févr. 1974 – Dikson, Russie (Cent avril à Amritsar, édition italienne, p. 109-110) : retrouvé dans la glace.
- 19. Oct. 1977 – Sidi Ifni, Maroc (Les sandales ailées d'Emydio Alves, édition coréenne, p. 9-10)
Sur son site eotwheel.com, J. W. Dominguez rapporte qu'une troisième vague pourrait également avoir débuté récemment.
TROISIÈME VAGUE
- 20. Oct. 2011 – Barcelone, Espagne (Le Chat moucheté, édition japonaise, p. 145-146 ou 233-234) : une source évoque néanmoins des blessures, comme si la victime avait chuté ou été larguée d'un avion.
- 21. Janv. 2012- Île d'Ambergris Caye, Belize (La Brigade, édition Tchèque, p. 99-100)
- 22. Févr. 2012 – Cameroun (Les Dix-Neuf de la Main noire, édition américaine de 1965, p. 9-10)
- 23. Mars 2012 – Yarmouth, Canada (Le Bateau de Thésée, édition portugaise, p. 9-10)
Hypothèses d'identifications :
- Selon Milton Nunley, Vice Président de la Santorini Man Society, le premier cadavre pourrait être celui de Jérôme Verdier. C'est un activiste français, disparu en Janvier 1937, qui aurait relaté dans un manuscrit les événements du « Massacre de Calais ».
- Selon une source inconnue relayée par eotvoswheel.com, le 23e cadavre et dernier Homme de Santorin connu à ce jour, retrouvé à Yarmouth (Canada), pourrait être l'écrivain irlandais Kevin T.F. Kavanagh, disparu en Irlande en Décembre 2011.
Théories :
(À suivre)
Documents :
• La page consacrée aux nombreuses hypothèses sur le Site Eotwos Wheel.
• Extrait de la p 76 de S. :
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• Thème : L'homme de Santorin
Dernière édition par Farlen le Mer 5 Mar - 0:30, édité 11 fois
Farlen- Messages : 152
Date d'inscription : 19/02/2014
Re: Les « Hommes de Santorin » : cadavres en série
Interprétations :
• On note le nombre important de pages 9-10 retrouvées sur les cadavres. Peut-être est-ce dû au fait que 9+10=19, ce nombre ayant une grande importance dans l'œuvre de Straka (voir Le nombre 19).
• Quand la deuxième vague s'achève, on compte également un total de 19 cadavres au total (voir Le nombre 19).
• On note une étrange ressemblance entre nos « Hommes de Santorin » et le mystérieux cas le l'Homme de Somerton, autrement baptisé Taman Shud Case. Son cadavre a été découvert le 1er décembre 1948 sur la plage de Somerton à Adelaide (Australie) et, malgré une enquête internationale, sa mort n'a toujours pas été élucidée. Le lien est d'autant plus frappant qu'on a retrouvé dans la poche secrète de son pantalon un morceau de la dernière page d'un livre — Les Rubaïyat d'Omar Khayyam —, avec les mots « Tamam Shud » imprimés (Tamam Shud : "terminé", "fini" en persan). Ce cas étant réel, on ne sait s'il a servi d'inspiration aux Hommes de Santorin et/ou si on peut le considérer — dans l'Univers de S. — comme un nouveau cas à prendre en compte.
• On note le nombre important de pages 9-10 retrouvées sur les cadavres. Peut-être est-ce dû au fait que 9+10=19, ce nombre ayant une grande importance dans l'œuvre de Straka (voir Le nombre 19).
• Quand la deuxième vague s'achève, on compte également un total de 19 cadavres au total (voir Le nombre 19).
• On note une étrange ressemblance entre nos « Hommes de Santorin » et le mystérieux cas le l'Homme de Somerton, autrement baptisé Taman Shud Case. Son cadavre a été découvert le 1er décembre 1948 sur la plage de Somerton à Adelaide (Australie) et, malgré une enquête internationale, sa mort n'a toujours pas été élucidée. Le lien est d'autant plus frappant qu'on a retrouvé dans la poche secrète de son pantalon un morceau de la dernière page d'un livre — Les Rubaïyat d'Omar Khayyam —, avec les mots « Tamam Shud » imprimés (Tamam Shud : "terminé", "fini" en persan). Ce cas étant réel, on ne sait s'il a servi d'inspiration aux Hommes de Santorin et/ou si on peut le considérer — dans l'Univers de S. — comme un nouveau cas à prendre en compte.
À vous de compléter avec vos propres observations et interprétations !
Dernière édition par Farlen le Mar 4 Mar - 23:54, édité 1 fois
Farlen- Messages : 152
Date d'inscription : 19/02/2014
Re: Les « Hommes de Santorin » : cadavres en série
Ajout :
• On note une étrange ressemblance entre nos « Hommes de Santorin » et le mystérieux cas le l'Homme de Somerton, autrement baptisé Taman Shud Case. Son cadavre a été découvert le 1er décembre 1948 sur la plage de Somerton à Adelaide (Australie) et, malgré une enquête internationale, sa mort n'a toujours pas été élucidée. Le lien est d'autant plus frappant qu'on a retrouvé dans la poche secrète de son pantalon un morceau de la dernière page d'un livre — Les Rubaïyat d'Omar Khayyam —, avec les mots « Tamam Shud » imprimés (Tamam Shud : "terminé", "fini" en persan). Ce cas étant réel, on ne sait s'il a servi d'inspiration aux Hommes de Santorin et/ou si on peut le considérer — dans l'Univers de S. — comme un nouveau cas à prendre en compte.
• On note une étrange ressemblance entre nos « Hommes de Santorin » et le mystérieux cas le l'Homme de Somerton, autrement baptisé Taman Shud Case. Son cadavre a été découvert le 1er décembre 1948 sur la plage de Somerton à Adelaide (Australie) et, malgré une enquête internationale, sa mort n'a toujours pas été élucidée. Le lien est d'autant plus frappant qu'on a retrouvé dans la poche secrète de son pantalon un morceau de la dernière page d'un livre — Les Rubaïyat d'Omar Khayyam —, avec les mots « Tamam Shud » imprimés (Tamam Shud : "terminé", "fini" en persan). Ce cas étant réel, on ne sait s'il a servi d'inspiration aux Hommes de Santorin et/ou si on peut le considérer — dans l'Univers de S. — comme un nouveau cas à prendre en compte.
Farlen- Messages : 152
Date d'inscription : 19/02/2014
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